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ce travail sera consacré a presenté un des plus grand economiste marocain a savoir Mr Habib El Malki

20 décembre 2005

Biographie de Mr Habib El Malki

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M.       Habib El Malki, que SM le Roi a nommé ministre de ‎l'Education       Nationale et de la Jeunesse, est né le 15 mai 1946 à Boujâad.‎

      

M.       El Malki est professeur d'économie à l'université de Rabat, ‎et député       du Cercle de Boujâad (Province de       Khouribga) depuis 1992.

      

M.       Habib El Malki a été secrétaire ‎général       du (CNJA) Conseil National de la Jeunesse et de l'Avenir. (janvier       1991-juillet 2000)

      

Depuis       le 19 novembre 1992, il est membre de l'Académie du Royaume du       ‎Maroc.‎
      
      ‎ Le 14 mars 1998, le regretté Souverain le nomme ministre de       ‎l'Agriculture, du développement rural et de la pêche. ‎(mars       1998-septembre 2000).‎

      

Activités       Scientifiques :

      

- Directeur       du Département de Sciences Economiques
      Faculte des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales - 1976-1982

      

-       President du GERM

      

-       President du Centre Marocain de Conjoncture.

      

DISTINCTIONS       SCIENTIFIQUES ET HONORIFIQUES :                

      

• Prix de l’Association       de Statistiques de Paris et de France (1987) Paris.        

      

• Ouissam du       Chevalier de l’Ordre du Mérite (1988) - Rabat .        

      

•       Officier du Ouissam El Arch (1993) - Rabat .        

      

•       Medaille de Vermeil décernée par l’Académie       Française au titre de ses GRANDS PRIX de 1993.         

      

•       Officier de la Légion d’honneur 3       juin 1998 - Paris-        

      

•       Ouissam du Chevalier du Grand Croix de l’Ordre du Mérite décerné par       le Président de la République Italienne ( Mai 2000 ) - Italie.                

      

MISSIONS       AUPRES D’ORGANISMES INTERNATIONAUX                

      

- FIDA (Fonds       International pour le Développement Agricole) Rome 1982 .                

      

- UNESCO (Division       de Philosophie - Division des Indicateurs Socio-économiques- Division des       Etudes et de Planification) Paris 1983-85 -1987-89.                

      

- OCDE (Centre de       Développement) Paris -1988.

      

- OMS (Organisation Mondiale de la Santé - Bureau Régional)       Copenhague - 1986.

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20 décembre 2005

Les clarifications de El Malki

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Habib El         Malki était, comme d’habitude, jovial et serein. Mais, les         premiers propos du ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement         supérieur, de la Formation des cadres et de la Recherche scientifique,         lors du point de presse qu’il a animé, lundi 19 juillet 2004,         laissaient penser que l’homme a été passablement affecté         par l’énorme tapage orchestré autour du « gâchis         » des examens du baccalauréat 2004. Ainsi M. Malki a tenu,         d’entrée de jeu, à s’inscrire en faux contre ces         évaluations, à ses yeux, inexactes.
        Le Bac reste, il est vrai, comme le décrivait, autrefois, Pierre         Loti, ce «petit examen affreux», mais ses résultats,         cette année au Maroc, n’avaient rien d’extraordinaire.         Ils étaient plutôt «objectifs et normaux et correspondent         à l’état d’avancement des réformes entreprises         dans le système éducatif», affirmait avec insistance         le ministre. Le taux général de réussite à         l’échelle nationale, est de 42,70% soit 91.076 élèves         dont presque la moitié sont des filles. Mais, ce ne fut pas l’unique         clarification de M. Malki. Deux autres « révélations         » méritent d’être soulignées. Les élèves         de l’enseignement public ne sont pas, contrairement à une         idée répandue, moins brillants ou plus mauvais que leurs         homologues dans les établissements privés. Preuve : le taux         de réussite dans l’enseignement public de l’ordre de         45,87% est supérieur à celui de l’enseignement privé.

      

Passage

      

La deuxième         révélation, plus ou moins paradoxale : la réussite         dans les branches scientifiques, réputées ardues, est plus         grande que dans les filières littéraires. Ainsi, explique         le ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement         supérieur et de la Recherche scientifique, 92,9% des candidats         en sciences mathématiques ont effectivement réussi leur         passage à l’Université, tandis que seuls 33,56% des         candidats au Bac littéraire auront la possibilité, lors         de la prochaine rentrée, de s’inscrire dans les établissements         de l’enseignement supérieur. Le taux de réussite dans         les branches techniques et industrielles, de l’ordre de 67,57%, est         fort acceptable. Les élèves de la filière Arts et         industrie de l’imprimerie, indique Habib El Malki, ont enregistré         un taux de réussite exceptionnel.. de 100%.
        Rien donc d’alarmant. Au contraire, à en croire le ministre,         les résultats du Bac 2004 étaient pratiquement conformes         aux pronostics et aux attentes du département de l’Éducation.         Le taux de ratage dans les filières littéraires n’aura         surpris personne dans ce ministère. Car, ce sont des branches qui         continuent de draîner un nombre immense d’élèves,         incomparable avec celui des adolescents qui poursuivent des filières         scientifiques et techniques.

      

Réforme

      

La cause         de ces échecs réside, donc, dans la mauvaise orientation.         Les stratèges de l’Éducation dans le Royaume en avaient         conscience depuis longtemps. La charte de l’enseignement, document-référence         en la matière, ne soulignait-elle pas la nécessité         d’ouvrir le système de l’enseignement sur son environnement         économique et culturel. Ne préconisait-elle pas un équilibre         entre les options du bac national ? Habib El Malki fustige implicitement         ceux qui sont allés vite en besogne en condamnant le nouveau système         d’enseignement prévu dans la réforme de l’éducation         en cours au Royaume. «La réforme vient de commencer. Elle         n’est qu’à sa quatrième année. Il faut         au moins 18 ans pour concrétiser tous ses objectifs», estime         le ministre. Celui-ci a, par ailleurs, fait état, au cours de son         point de presse, de plusieurs mesures salvatrices que son département         entend prendre prochainement. Aussi, indique-t-il, «nous allons         tout faire pour que le baccalauréat expérimental se passe         dans les meilleurs conditions». «Cela, ajoute M. Malki, va         permettre aux enseignants de corriger certains aspects: cours, nature         des épreuves..». Le ministère serait décidé,         notamment, à développer l’enseignement public. Pour         ce faire, il compte, entre autres, selon le ministre, dispenser des cours         d’appui et de soutien en faveur des élèves ayant des         difficultés d’apprentissage tout en incitant ceux-ci à         la fréquentation des bibliothèques.
        Le ministre a égratigné les élèves et, par         leur biais, les parents insouciants quand il a critiqué la négligence,         la paresse et le culte du moindre effort, assez répandus dans les         rangs des lycéens. «La manière dont les étudiants         préparent les examens n’est pas adéquate. Il faut qu’ils         reprennent les bonnes habitudes. Il faut qu’ils sachent que le baccalauréat         se prépare en deux années», a martelé Habib         El Malki , qui avait, en outre, annoncé l’intention de son         département d’encourager l’enseignement privé.         Il s’agit, semble-t-il, de préparer les meilleures conditions,         sur le double plan pédagogique et logistique, pour favoriser le         succès de l’année scolaire prochaine qui sera, en fait,         une année de transition, vers la seconde moitié de la décennie         de l’éducation et de la formation.

      

Conditions

      

Patron du         département de l’Éducation, depuis moins d’une         année, Habib El Malki, ancien président du défunt         Conseil national de la jeunesse et l’avenir (CNJA), était         rassurant sur l’évolution des choses au niveau de son ministère.         Outre «la normalité» des résultats du Bac 2004,         l’homme s’est longuement félicité des progrès         enregistrés dans l’enseignement primaire où le taux         de réussite était de 88,15%, soit 446.335 élèves.         Il a également relevé, dans le même registre, que         le taux de passage de collèges aux lycées, au Royaume, est,         cette année, de l’ordre de 50,97. Mais, le taux de passage         en soi d’une année à l’autre ou d’un niveau         de l’enseignement à un autre, ne doit pas occulter, selon         El Malki, le souci de qualité de l’enseignement et le sérieux         des examens, pré-requis pour préserver et renforcer la crédibilité         des diplômes marocains.
        Ce qui implique, bien évidemment, comme l’a souligné         le ministre, à juste titre, une poursuite de la révision         du système basée sur deux mots clés : « rigueur         et responsabilité ». Des qualités qui devront, affirme         El Malki, prévaloir à tous les niveaux de l’examen         de la préparation à l’annonce des résultats         en passant par l’élaboration et la correction. Exaltant chantier.

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